Quand l’imagerie accompagne la restauration d’œuvres picturales : le cas Soulages

¹ Institut d’Optique Graduate School et Université Jean Monnet Saint-Étienne, UMR 5516 Laboratoire Hubert Curien, 18 rue Benoît Lauras, 42000 Saint-Étienne
² Université de Poitiers, UPR 3346 Institut Pprime, 2 Bd des Frères Lumière, 86360 Chasseneuil-du-Poitou
³ Université de Poitiers, UMR 7252 Institut Xlim, Bât. H1, 11 Bd Marie et Pierre Curie, 86362 Futuroscope Chasseneuil Cedex
⁴ CNRS, Laboratoire Institut Photonique d'Analyse Non-destructive Européen des Matériaux Anciens (IPANEMA), Site du Synchrotron SOLEIL, BP48 Saint-Aubin, 91192 Gif-sur-Yvette
⁵ CY Cergy université, UMR 9022 Héritages : Culture/s, Patrimoine/s, Création/s, 33 boulevard du Port, 95011 Cergy-Pontoise Cedex

^* mathieu.hebert@institutoptique.fr

Résumé

Enregistrer l’apparence des oeuvres d’art moderne est un enjeu majeur car celle-ci évolue dans le temps, et un défi qui exige le développement de nouveaux principes d’imagerie ou d’adapter les principes existants car la couleur n’est pas le seul attribut visuel exploité par les peintres : le brillant, le relief, la texture jouent aussi un rôle essentiel, en témoigne l’analyse en mars 2023 d’une toile de Pierre Soulages.