Numéro |
Photoniques
Numéro 67, Septembre-Octobre 2013
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Page(s) | 35 - 38 | |
Section | DOSSIER SUPER RÉSOLUTION | |
DOI | https://doi.org/10.1051/photon/20136735 | |
Publié en ligne | 16 septembre 2013 |
Explorer l’architecture du vivant à l’échelle moléculaire grâce à la microscopie de super-résolution PALM/STORM
1
Functional Imaging of Transcription, CNRS UMR8197, École Normale Supérieure, 75005 Paris
2
Institut de Biologie de l’ENS, IBENS, 75005 Paris
3
Laboratoire Physico-Chimie, Institut Curie et CNRS UMR168, 75005 Paris
L’étude de nombreux mécanismes en biologie requiert de décrire de manière quantitative l’organisation spatiale et la dynamique de systèmes vivants. Par sa spécificité moléculaire et sa compatibilité avec le vivant, la microscopie de fluorescence est depuis longtemps un outil de référence en biologie. Cependant, un inconvénient de la microscopie optique est que sa résolution spatiale est limitée par la nature ondulatoire de la lumière, à typiquement 250 nm dans le plan x-y et 500 nm selon l’axe optique z (figure 1a). C’est donc un outil très puissant pour analyser la morphologie des cellules (dont la taille typique est comprise entre 1 et 100 mm) mais bien moins approprié pour étudier les propriétés d’assemblages macromoléculaires (à l’échelle 10-100 nm) dont on sait pourtant qu’ils sont essentiels pour le fonctionnement de nos cellules.
© EDP Sciences, 2013
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